L'Histoire du TITANIC

Prémonition ?

Quatorze ans avant le drame, l'écrivain Morgan Robertson écrivit un roman Futility or The Wreck of the Titan, dans lequel il mettait en scène un paquebot luxueux et gigantesque en tout point similaire au Titanic : tonnage, dimension, vitesse, nombre de passagers, canots de sauvetages insuffisants, etc. Ce titan des océans heurtait un iceberg lors de son quatrième voyage. Il avait appelé son navire le Titan…

Traversée inaugurale

Le bateau commença son trajet inaugural — partant de Southampton en Angleterre vers New York — le 10 avril 1912, avec comme capitaine Edward Smith, s'arrêtant d'abord à Cherbourg en France, et Queenstown (de nos jours Cobh) en Irlande, pour embarquer d'autres passagers. Dans la nuit du 14 avril, vers 23h45, il percuta un iceberg.

• L'iceberg déchira à tribord la coque en plusieurs points, faisant sauter les rivets à l'avant côté bâbord sous la ligne de flottaison, ouvrant une voie d'eau dans les six premiers compartiments.

• Bien que les portes étanches reliant les seize compartiments soient fermées, le sommet des compartiments n'était pas étanche et, les calculs de flottaison prévoyaient que cinq compartiments au plus soient noyés. Donc le navire pris trop de gite avant et, les compartiments sans voie d'eau se remplirent par le haut, faisant sombrer lentement le navire.

• Le Titanic coula à 2h20 le matin suivant. Il y avait à peine assez de canots de sauvetage à bord pour la moitié des passagers et l'équipage. Dans cette tragédie — la pire catastrophe maritime en temps de paix seulement 711 personnes sur un total de 2 223 survécurent et furent repechées par le Carpathia. (Ces nombres sont approximatifs. * Aucune liste connue de passagers du Titanic n'est complète.)

• Relativement peu de corps furent retrouvés, seuls 150 furent transportés au Centre des opérations de recherche et de sauvetage de Halifax en Nouvelle-Écosse au Canada, où la majorité d'entre eux furent enterrés dans le Fairview Cemetery.

• Un des membres de l'équipage, a survécu non seulement au naufrage du Titanic, et un peu plus tard au naufrage d'un autre des navires jumeaux du Titanic, le HMHS Britannic.

• Le navire avait été averti par radio de la présence d'icebergs. Néanmoins, il n'avait pas réduit sa vitesse. La légende veut qu'il dépendait de celle-ci qu'il gagne ou non le célèbre ruban bleu, que pouvait arborer uniquement le transatlantique ayant établi un nouveau record de vitesse entre l'Europe et New York lors de sa croisière inaugurale. Cependant, le Titanic n'était pas conçu pour pouvoir concurrencer le Lusitania ou le Mauretania, qui détenaient ce ruban bleu.

La malédiction du Titanic...

À 12h00, heure de son départ pour la traversée inaugurale, le Titanic s'écarta doucement de son quai du port de Southampton en dérivant à l'aide de cinq remorqueurs. À bâbord, les turbulences provoquées par les puissantes hélices firent tanguer le New York, un navire amarré juste à côté. Le déplacement d'eau causa une telle tension que les amarres se rompirent. Alors que le Titanic prenait de la vitesse, l'arrière du New York, commença à dériver en direction de la poupe du Titanic, mais le commandant de bord arriva à éviter de justesse le New York. La malédiction avait déjà fait son œuvre...

Quand le Titanic coula, certains prétendirent qu'il y avait une malédiction sur ce navire. Une des légendes les plus répandues fut liée directement au sectarisme de la ville de Belfast où le bateau fut construit. Il était suggéré qu'on avait donné à ce bateau le numéro « 3909 04 » ce qui donnait quand on le lisait dans un miroir, no pope (pas de pape), un slogan sectaire attaquant les catholiques, qui était (et reste) largement utilisé par provocation par les extrémistes protestants d'Irlande du Nord. Dans ce sectarisme extrême du nord-est de l'Irlande (l'Irlande du Nord elle-même ne fut créée qu'en 1920), le naufrage du bateau, quoique déploré, fut prétendu devoir être mis sur le compte de l'anticatholicisme de ses constructeurs, l'entreprise Harland and Wolff qui avait un personnel presque exclusivement protestant et une aversion supposée contre les catholiques. (Harland et Wolff employait effectivement peu de catholiques ; le fait que cela soit dû à une politique délibérée ou à la localisation géographique des chantiers navals de la compagnie dans la baie de Belfast, au cœur du quartier Est quasi exclusivement protestant - que peu de catholiques oseraient traverser - ou un mélange de ces deux raisons, est sujet à débat.)

Source : wikipedia.org

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Comments

[cherielle]

comme toujours j'adore ces histoires et les films qu'on en a fait - j'espere que tu va bien et qu'il ne fait pas trop froid chez toi , ici petit soleil aujourd-hui ouf - je te souhaite un bon week-end repose toi bien - bisous a toi